
Texte tiré de l’ouvrage : PROTAIS LUMBU 4. «Mon apport dans le Triomphe de la démocratie multipartiste’ » Mon immeuble Bouger et Faire Bouger à Kongolo avait été fermé dans le cadre de ma persécution politique. J’avais exigé sa réouverture dès mon évacuation du cachot de la 13è brigade des forces armées zaïroises, ce qui m’avait été accordée. Ci-dessous développées la manière dont la fermeture était intervenue, mes vaines protestations ainsi que celles de mon épouse et enfin la réouverture intervenue pour raison politique et pas du tout administrative ! Le Commissaire de zone de Kongolo avait exécuté par sa lettre du 14 juillet 1986 l’ordre formel et impératif de fermeture de l’hôtel Bouger et Faire bouger contenu dans le télégramme que lui avait adressé le Commissaire Sous Régional de Tanganika. Ayant contesté le bien fondé de cette note et réservant une copie pour information au Commissaire Sous Régional de qui émanait l’ordre, ce dernier adressa lui-même une autre note de fermeture dans laquelle il...