Revue de presse du 26 septembre 2013

« Contrairement à tout ce qui se raconte », Grognon attribue « le succès des concertations à la modicité du per diem. Si l’on avait placé la barre à 400 dols yankees par jour, comme cela fut annoncé, les travaux seraient aujourd’hui au point mort ».

« A 50 biftons Obama par jour », constate le satirique, «la plupart de participants ont moralement démissionné. Ils sont venus participer aux travaux en ateliers juste pour faire de la configuration. Ils n’ont pas pris part aux débats, n’ont émis aucune objection, encore moins formulé la moindre recommandation ».

Grand absent aux assises nationales, « Justin-Marie Bomboko » est salué, dans La Prospérité, à l’occasion de ses « 85 ans », par « Elikya Mbokolo » comme « une sorte de mythe au sens positif, car il a été présent au moment de l’indépendance, du collège de commissaires généraux et même dans les instants les plus noirs de l’histoire du pays ».

La consœur fait ensuite parler « Isidore Ndaywel : Bomboko « est un personnage extrêmement intéressant, avec une mémoire d’éléphant ».

Mauvaise nouvelle pour le pays, cependant; L’Observateur annonce que « la CAN féminine Namibie 2014 se jouera sans la RDC ».

« Selon la fédération congolaise de football », que cite le quotidien, « le gouvernement a demandé de ne pas inscrire l’équipe féminine aux éliminatoires du championnat pour des raisons d’ordre financier ».

Lisapo aborde, lui, le cas « Eto’o », avec ce « retard à l’allumage. Arrivé à Chelsea à la fin du mercato estival, Samuel Eto’o n a pas encore fait trembler les filets adverses ».

L’hebdomadaire s’inquiète car, «aligné à trois reprises depuis qu’il a été apte à joeur, l’international camerounais est resté muet. Une inefficacité qui commence à susciter des interrogations ».

En musique, Le Guide crie à « l’alerte maximale : les musiciens empoisonnent. Les mélomanes de la chanson dite congolaise profane sont de plus en plus harassés dans leur for intérieur. Les chants, cris et danses des artiste-musiciens assassinent à petit feu leur éducation et morale ».

« Véritable dépravation des mœurs », stigmatise le confrère, « l’obscénité contenue dans leurs œuvres a déjà infecté bon nombre de jeunes dont le mode de vie est malencontreusement métamorphosé ».